J’ai donc annoncé que je prenais des « vacances » pour pouvoir me consacrer à l’écriture de différents projets… tandis que j’attends le retour de chez l’imprimeur de mon dernier livre, écrit cette fois à quatre mains, et qui sera présenté bientôt.
En fait de vacances, je passe donc la majeure partie de mon temps en tête-à-tête avec mon écran et mon clavier… ce qui me convient tout à fait.
Lorsque je lâche momentanément le fil de mon livre suivant, je me penche sur la création de mon prochain atelier d’écriture pour enfants.
Cette fois, l’histoire que j’imagine nous entraînera en Egypte ancienne, à l’époque des pharaons, sur les traces d’une statuette disparue.
A chaque fois que je me lance dans ce genre de projet, je me replonge dans ces univers qui m’ont passionnée lorsque je les apprenais à l’école.
En ce moment, je baigne donc dans la mythologie égyptienne, donnant vie à Bastet, Anubis, Rê, Hator, Seth, Sobek et les autres.
Ainsi, bien sûr, qu’à mon préféré entre tous, Thot, le dieu ibis, qui a apporté l’écriture et langage au peuple égyptien, et qui est le dieu du temps et de la sagesse.
Je pars du principe que si l’histoire que j’écris me passionne, cela intéressera aussi les enfants… pour peu que j’arrive à la leur présenter avec ce zeste de mystère sans lequel la mayonnaise ne peut pas prendre.
Donc… je rentre joyeusement dans mon rôle de scribe… ouillarde!
