Découvert dans l’actualité:
Un couple de parfaits inconnus s’est invité à la Maison-Blanche à l’occasion d’un dîner donné en l’honneur du Premier Ministre Indien.
Les deux invités surprises, qui n’avaient bien sûr pas été conviés, ne disposaient donc pas de cartons d’invitation.
Et malgré cela, ils ont franchi les points de contrôle et ont fait bombance à la table d’Obama.
Les petits malins, qui n’en sont pas à leur coup d’essai puisqu’ils ont déjà réalisé ce genre d’exploits avec d’autres célébrités, en rentrant chez eux, se sont précipités sur facebook pour raconter leur incroyable aventure avec photos à l’appui.
Ils ont toutes les raisons d’être contents: c’était très rigolo.
Par contre, ils risquent la prison.
Le responsable de la sécurité du Président, lui, est un peu tendu.
On imagine bien qu’il ne passe pas les heures les plus agréables de sa carrière…
Encore plus bête:
Selon le Dauphiné Libere, à Evian, c’est-à -dire à 15 minutes de l’endroit où j’ai posé mes valises pour le moment, un joggeur un peu particulier vient de faire parler de lui.
Au cours de son footing, il distribuait des claques aux badauds, en passant.
Et comme ce super-héros est trrrrèèèès courageux, il ne s’attaquait qu’aux femmes et aux enfants.
Ne souriez pas: l’une de ses victimes s’est retrouvée en incapacité de travail pendant trois jours suite à l’agression.
Comme le personnage en question sévissait dans les galeries marchandes, une vidéo de surveillance a filmé ses méfaits et un portrait robot a été dressé.
Arrêté par la police, il a été ausculté par un psychiatre qui lui a trouvé une « personnalité troublée (ah bon? On ne s’en serait pas douté, tiens…) mais suffisamment de conscience de ses actes pour pouvoir être poursuivi pénalement.
Le joggeur-baffeur a donc été convoqué devant le juge, pour violences volontaires et aura à faire face à quatre plaintes déposées… ainsi qu’à une main courante, précise le journal.
Comme quoi, la justice a de l’humour.
Enfin, cela ne vous a sans doute pas échappé: Barrack Obama a prononcé sa première grâce présidentielle cette semaine, comme le veut une tradition instaurée en 1947, en accordant la vie sauve à une dinde « Courage », qui n’a donc pas terminé en plat principal de Thanksgiving.
Deux réflexions suite à cet acte bon enfant:
– Des grâces, j’espère que le président en accordera d’autres, et pas seulement pour des dindes…
– « Courage » a eu droit à une peine de substitution: elle a été envoyée finir le reste de ses jours à Disneyland.
Outch… A sa place, je me demande si je n’aurais pas préféré le billot…
Martine Bernier