Ce samedi a commencé tôt et s’inscrit résolument dans la série « jours de travail intensif ».
Parce que je dois écrire un article urgent, mais aussi parce que je vous prépare une surprise sur Ecriplume, à découvrir dans les heures ou les jours qui viennent.
Raison pour laquelle, ce matin, je vais me contenter de vous parler d’un fait divers qui s’est déroulé en Italie, en 1973… et qui m’a fait sourire.
Au générique de ce qui aurait pu être un film burlesque, mais qui n’est pas une fiction, se trouvent deux bandits.
Des bandits bien organisés, qui avaient soigneusement préparé leur affaire…
Ces messieurs s’étaient procuré une voiture puissante, des armes, et avaient repéré les lieux.
C’est ainsi qu’à Rome, le 29 octobre 1973, les deux hommes ont attaqué un fourgon de transports de fonds.
Ils ont menacé le chauffeur de leurs armes, et, agissant rapidement, ont réussi à s’emparer d’un sac et à s’enfuir à toute vitesse.
Réussite totale: ils avaient réussi leur coup.
Sauf que…
Le chauffeur du fourgon a porté plainte.
Et il a eu raison, pensez… on lui avait volé son casse-croûte!
Le sac emporté contenait trois sandwichs, deux aux jambon et un au parmesan.
J’en ris encore…
Martine Bernier