Ecriplume: les chiffres s’emballent…

Depuis qu’Ecriplume a dépassé le million de visiteurs voici quelques mois, je regarde de temps en temps son compteur de visites grimper.
Ce matin, en arrivant dans mon bureau, j’ai réalisé que, durant la nuit, une nouvelle étape a été franchie avec le dépassement du cap de 1’600’000.
Comme je l’ai dit sur un réseau social, à mes yeux, Ecriplume, que je continue à considéré comme un petit bout de rien, est devenu un petit pont entre ceux qui l’empruntent régulièrement pour y lire quelques lignes, et moi qui dépose des textes au gré du vent.
Je suis touchée par mille choses depuis que j’ai ouvert ce « boudoir ».
Les courriers électroniques, les messages ou les commentaires qui sont autant de retours sympathiques.
Cette lettre arrivée par la poste avec juste la mention Ecriplume et le code postal… et qui m’est parvenue.
Les réactions de personnes liées à un sujet que j’ai abordé, m’apportant des renseignements complémentaires.
Celles et ceux qui m’abordent pour me dire en souriant qu’ils lisent Ecriplume et qu’ils lui sont fidèles, qui me disent craquer pour Pomme  (« Votre Mogwaï… »)
Ceux qui me confient avoir été visiter un lieu dont j’ai parlé, parce que ce que j’en disais les a attirés.
Ceux qui me disent avoir lu et aimé un livre qu’ils ont acheté après avoir lu sa présentation sur le site.
Ceux qui ont été voir un film que j’ai aimé, ou été visiter une exposition qui m’avait séduite.
Ceux qui me lisent à l’autre bout du monde et me le disent de temps en temps, me démontrant que, quelle que soit notre culture ou notre nationalité, nous sommes souvent touchés par les mêmes sujets.

C’est à travers ces réactions qu’Ecriplume existe.
Ce qui me touche le plus?
Les réactions par rapport à mon Capitaine.
Lorsque, en le rencontrant, on me dit « qu’il est tout à fait comme je me l’imaginais! »
Ou quand une personne me prend à part pour me confier que, c’est bien vrai, « il a bien les yeux couleurs rivière… »

Alors, ce matin, j’ai envie de remercier, comme à chaque fois.
Merci d’avoir trouvé le chemin du site et de venir y explorer les dessous de la vie, les petits riens dont on parle peu, ou les destins dont on ne parle plus.

Martine Bernier