Cette semaine, un mail parmi d’autres m’a interpellée.
Il provient d’une femme m’expliquant que mon site a retenu l’attention de son entreprise qui me propose de placer un article rémunéré sur Ecriplume.
Le message était écrit de telle façon qu’il fallait le relire pour bien comprendre que l’entreprise en question travaille pour des clients industriels qui cherchent à faire connaître leurs produits en utilisant le support de blogs ou de sites bien fréquentés.
Ah.
J’ai été flattée de voir qu’Ecriplume attirait ainsi l’attention.
Puis j’ai réfléchi.
J’ai toujours refusé la pub sur mon blog en sept ans d’existence du site.
Je ne serais pourtant pas complètement contre des annonces permettant de rentrer dans les frais du site.
Parler d’un produit ou d’une activité avec lesquels je suis en accord ne me poserait, je pense, pas de problème sachant que, selon ce que me disait mon interlocutrice, dans le cas présent, j’aurais droit de regard sur les textes que je pourrais semble-t-il remanier à ma guise.
Je peux également les mettre dans n’importe quelle partie du blog, sachant qu’il est hors de question pour moi de déposer un publi-reportage sur le « court central » d’Ecriplume.
Seulement voilà.
Deux mots entre parenthèses m’ont fait grincer des dents: « sport et casino ».
Sport, oui, pourquoi pas.
Casino et jeux d’argent: non, certainement pas.
J’ai donc répondu en expliquant mon point de vue, ce que je peux accepter et ce que je ne peux pas.
Et quand mon message est parti, j’ai eu le coeur plus léger.
Martine Bernier