Et deux perles de plus!

J’avais proposé à mon Capitaine de faire un saut dans une grande surface spécialisée dans le bricolage et le jardinage, afin de pouvoir lui acheter son cadeau d’anniversaire, anniversaire qui se rapproche à grands pas.
Dans le magasin en question, ma tendre moitié s’est adonnée à sa recherche de l’outil idéal tandis que je m’éclipsais discrètement vers les rayons extérieurs de la jardinerie.
Et plus précisément vers le coin réservé aux rosiers…
Je sais que je dois être sage,  mais je ne peux m’empêcher de leur rendre visite… 
Je me suis trouvée en arrêt devant quatre pots de  bonnes tailles, tous représentant d’un rosier qui m’a tentée dès mon arrivée ici: le Pierre de Ronsard.
Je sais qu’il est très prisé par de nombreux jardiniers, mais je ne l’ai pas acheté, sachant que, même s’il est magnifique, il est très peu parfumé.
En continuant ma visite, c’est un autre rosier, tout à côté, qui  retenu mon attention: L’Alhambra.

L’Alhambra

Ce rosier grimpant donne des fleurs couleur rose porcelaine, et dégage un parfum d’agrumes… 
De plus, il irait parfaitement sur le treillis qui entoure la face nord de l’enclos des poulettes…
J’ai continué mon périple et j’ai trouvé ce que je cherchais: les rosiers David Austin.

Summer Song


Il n’y en avait que cinq, et, sur les quatre espèces représentées, seule l’une d’entre elles ne figurait pas dans mes plantations.
« Summer Song » a deux particularités: sa couleur orange brûlé, et son parfum qui, dit-on, est complexe et capiteux…
La couleur ne fait pas partie de mes favorites mais… le parfum, lui, m’interpelle.

 Le temps d’aller retrouver mon Capitaine qui, entretemps, avait trouvé son bonheur, et je l’ai entraîné pour découvrir mes trouvailles.
Résultat des courses: deux nouveaux rosiers ont fait leur apparition dans la roseraie…
Je dois donc mémoriser les noms et les emplacements de 32 rosiers auxquels viennent s’ajouter trois ou quatre « bébés » issus de notre nurserie à roses…
Bébés qui ne rejoindront pas leurs aînés avant l’an prochain et qui, en attendant, continueront de grandir à l’ombre d’un arbre sec sur lequel court un rosier grimpant…

Martine Péters


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