Depuis toujours, les carnets sommes indissociables.
Je leur ai déjà consacré un ou deux textes sur Ecriplume, et l’attachement que je leur voue n’a pas changé depuis.
J’en ai des quantités, remplis ou vides, tous très beaux, qu’ils soient en moleskine ou issus des prestigieuses collections Paperblanks.
Les uns m’ont accompagnés dans mon quotidien, les autres attendent d’y être conviés.
De temps en temps, j’en reprends un et je relis les notes prises, ce qui me réserve parfois des surprises.
Des fleurs séchées provenant d’endroits bien précis, des phrases retenues, des noms de personnes, d’animaux, de lieux, de fleurs, d’objets, quelques lignes sur un événement ou une anecdote, sur une histoire qui m’ont été racontés, des idées que je ne veux pas oublier…
Lorsque je les reprends, j’y puise des informations qui me servent toujours une fois ou l’autre.
Ces carnets sont des compagnons précieux…
Bien sûr, comme je ne suis pas restée ancrée dans le siècle dernier, j’utilise également les applications de notes qui figurent sur mes iPhone, ordinateur et iPad.
Mais rien ne remplace le charme de ces mini cahiers et de leurs pages que je tourne à l’infini…
Martine Péters