Année 2020.. comme nous la voudrions

Après l’effervescence de la semaine de Noël, mon Capitaine et  moi avions envie d’autre chose pour le  Nouvel An.
Ce qui nous a conduit à passer une soirée délicieuse…
Au lendemain de ce réveillon en amoureux,  vient le temps des voeux.
Difficile d’en faire lorsque l’on connaît la réalité des choses…
Si des voeux peuvent influer sur le cours du temps, je dirais que je voudrais pour chacun de nous, ainsi que pour notre planète que les problèmes de toutes sortes nés en 2019 et auparavant trouvent leur solution en 2020.
Ce souhait se tourne vers tous les pays du monde affectés par des soucis qui les étouffent.
La liste est longue de tout ce que j’aimerais voir s’améliorer.
Mais j’ai en ce moment une pensée toute particulière pour l’Australie ravagée par ces feux meurtriers qui déciment tout sur leur passage, pour les habitants durement éprouvés, pour ces pompiers héroïques qui se battent en vain, et pour ces merveilleux animaux que sont les koalas incapables de fuir, dont la souffrance est insupportable.
Au total, ce sont 500 millions d’animaux  toutes espèces confondues  qui, nous dit-on, ont déjà perdu la vie dans cette catastrophe…

Martine Péters

 

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