Ce mercredi, alors que je vivais la journée la plus chargée de la semaine, une lettre est arrivée dans notre boîte aux lettres.
Je l’ai ouverte et… j’ai été submergée par une avalanche d’amour.
A l’intérieur, deux cartes, toutes deux écrites de la main d’Aurélien, mon petit-fils, des dessins, des mots émouvants…
J’ai aussitôt mis un petit message à mon fils pour lui dire combien cela nous a touchés.
Et il m’a étonnée en me disant que le petit avait décidé seul qu’il voulait nous écrire, et qu’il avait ensuite mené à bien son projet.
Mais les surprises ne se sont pas arrêtées là.
En début de soirée, mon téléphone a sonné.
J’ai décroché et je me suis retrouvée en FaceTime face à la bouille souriante de notre petit bonhomme.
Nous avons eu une merveilleuse conversation au cours de laquelle il m’a habilement précisé qu’il n’avait pas encore vu LE livre.
Ce livre dont il est le héros avec son Papyno, et qui sortira début janvier au plus tard.
Ce qu’il ne sait pas, c’est que l’ouvrage est en cours d’impression et qu’il devrait arriver pour Noël.
Quelques heures avant le passage du Père Noël, je lui offrirai son livre qu’il m’a vue écrire et illustrer, et dont il m’a soufflé le sous-titre.
Je suis au moins sûre d’une chose: ce cadeau-là ne risque pas de faire doublon et pourrait rester dans sa mémoire.
Martine Péters