Ca y est!
J’aurai mis moins d’une semaine pour arriver au bout de la taille de printemps de mes rosiers.
Ma centaine de protégés a fait l’objet de tous mes soins… mais je n’ai pu que constater la disparition de deux d’entre eux, déjà très fragiles au début de l’hiver.
Ils n’ont pas résisté, mais je me fais une raison, me rappelant de mes entretiens avec Mme Schusselé, du Jardin de roses du même nom, à Ollon, en Suisse.
Cette dame passionnée et grande connaisseuse de roses, qui a été à la base de mon propre cheminement dans ce domaine, m’avait expliqué que, chaque année, elle avait quelques pertes.
Il fallait s’y faire et les remplacer.
Cette année, ce sont deux jeunes rosiers anglais qui m’ont fait faux bond: Charles Darwin et Brother Cadfaël.
Cela me fait de la peine car j’en attendais beaucoup, mais je dresse déjà la liste de ceux qui rejoindront le jardin cette année.
Il ne devrait pas y en avoir plus de trois ou quatre, dont trois sont déjà commandés ou réservés.
Le jardin et la nature restent des refuges apaisants…