Je suis toujours frappée lorsque je vois fleurir certaines plantes que l’on regarde comme étant des « mauvaises herbes ».
Le jardin est grand… et les végétaux sauvages qui s’y trouvent y vivaient déjà bien avant nous et bien avant que cette parcelle de terrain soit transformée en ce qu’elle est aujourd’hui.
Donc… nous les laissons vivre en paix.
En ce moment, la cardamine des prés pousse un peu partout en petits bouquets délicats.
Ici, elle s’est associée à un lierre pour vivre leur vie ensemble, le temps d’un printemps…