Au départ… j’avais prévu de faire un simple clin d’oeil pour indiquer que le temps passe, mais que nos poules sont toujours aussi choyées…
Chaque jour, mon Capitaine continue à leur préparer de la nourriture variée, qu’il s’amuse à présenter de manière quasi artistique.
Ce qui semble beaucoup leur plaire…
Je voulais terminer le clin d’oeil en question par cette image.
Il est toujours très difficile de réussir à les avoir toutes les sept sur la même photo.
Mais ce matin-là, elles avaient répondu à mon appel et ont consenti à rester tranquilles environ dix secondes.
Mais le jour où j’ai commencé ce petit bout d’article, un chagrin nous attendait dans le poulailler.
Kiki, notre poule gris clair, qui était pourtant en forme le matin, a été retrouvée sans vie, couchée dans le poulailler.
Nous ne savons absolument pas ce qui a pu se passer: elle ne portait pas de trace de blessure…
Kiki venait de Suisse où elle avait d’abord vécu chez mon fils qui, lorsque sa famille a déménagé, n’a plus pu garder ses poules.
Il nous en a donc confié deux, qui ont vécu avec nous une vie douce et paisible…
Pourtant, à son arrivée, Kiki a été très mal reçue par Kaki, ma poule rousse qui lui a fait passer un très mauvais quart d’heure.
Si Tina, sa douce copine, n’a eu aucun problème à s’intégrer, Kiki a mis beaucoup plus de temps.
Donc… je la protégeais, avouant dans un précédent article que ce sont elles les poules et que c’est moi qui les couvais!
Il est impossible de ne pas s’attacher à ces petites demoiselles qui ont chacune une personnalité propre.
Elles sont drôles, familières, parfois indépendantes…
Le départ brutal de Kiki laisse un vide…
2 réflexions sur “Tristesse cher les poules”
Oh non Martine …..que c’est triste.
La pauvre Kiki !!! Elle va manquer à ses copines….. et à vous aussi.
Oui… il ne reste plus que deux Pékin dans le groupe de six… Et je ne veux pas en reprendre: j’ai trop de peine lorsque nous en perdons…