Jeudi… jour du jubilé de la Reine d’Angleterre.
Quoi que peuvent en penser les esprits chagrins, cet événement restera dans l’Histoire.
Quant au destin et à la personnalité de cette Dame, ils m’interpellent depuis longtemps.
Comme la télévision nous donnait la possibilité de suivre les festivités aux premières loges, j’avais décidé de ne pas en manquer une miette, d’autant que j’avais très envie de déguster les commentaires de Stéphane Bern…
Mais comme d’habitude, rien ne s’est passé comme je l’avais prévu.
J’ai dû programmer dans la journée deux interviews pour les besoins d’un article.
J’avais donc fixé le premier rendez-vous tôt matin, et le second dans l’après-midi pour avoir le temps de suivre la diffusion directe entre deux.
A peine avais-je terminé l’interview que j’ai eu la visite d’un membre de notre famille, puis de deux, qui nous sont chers.
Entre eux et le jubilé, le choix ne se posait pas.
Lorsqu’ils sont partis, j’ai filé ventre à terre en direction du salon, mes Mogwaïs sur les talons.
Nous avons sauté sur le canapé (ou presque), j’ai allumé la télévision et je me suis plongée avec délice dans l’univers des Queen’s Gards, de la liesse so Bristish, des décorations du quartier Mayfair sur le thème « Mary Poppins », de la Cour royale entourant la Reine et des facéties du plus jeune de ses petits-enfants…
Puis j’ai filé pour mener ma deuxième interview avant de commencer l’écriture de l’article.
Je n’ai lésé personne… et j’ai pu m’associer mentalement à la joie des Anglais!