Déformation professionnelle, sans doute… lorsque je suis un cours, je prends énormément de notes, que je développe pour être sûre de pouvoir bien cerner le sujet lorsque je les relirai à l’avenir.
Mais cela faisait longtemps que je n’avais pas été confrontée à un détail édifiant: la durée de vie d’un stylo bille!
Passionnée par les cours auxquels j’assiste en ce moment, j’y travaille entre 6 et 8 heures par jour depuis environ une semaine.
Au bout de deux jours, mon stylo a rendu l’âme.
Petite nature, va…
Vérification faite, la cartouche d’encre était vide.
Pensant qu’il devait être déjà largement entamé lorsque je l’ai choisi pour m’accompagner dans cet exercice, j’en ai pris un deuxième, identique… qui a tenu deux jours lui aussi.
Un troisième a suivi le même chemin hier, et j’ai l’impression que celui que j’ai pris pour le remplacer frémissait d’inquiétude lorsque je l’ai empoigné!
Ces stylos sont ceux que je donne aux enfants des ateliers d’écriture.
Clairement, ils n’ont pas l’envergure de marathoniens, même si j’aime beaucoup la rondeur de leur pointe.
Encore heureux que j’arrive à leur faire accepter des recharges que j’avais pour certains de leurs cousins, histoire de limiter mon empreinte carbone…