Dans la quiétude de mon bureau seulement troublée par l’arrivée de Wally l’Aspi’ et de mes Mogwaï désireux de recevoir le « nonosse » du matin, j’écris.
Pas un article, pas un travail commandé, et pas non plus la préparation d’un futur atelier, non.
J’ai enfin pu dégager du temps pour me remettre à l’écriture de mes bouquins.
Celui-ci est particulier puisqu’il s’agit d’une nouvelle collection s’adressant aux enfants dès 7-8 ans, qui établira le lien entre mes ateliers et les histoires folles dans lesquels j’entraîne mes jeunes complices.
Ce livre et les suivants devront donc être interactifs et permettre aux jeunes lecteurs de s’amuser tout en lisant, de découvrir des civilisations passionnantes et de résoudre des énigmes les entraînant dans un univers très particulier.
Comme je le fais pour chaque livre, j’ai ressorti mon allié, mon précieux Cahier des Délires
Avec le temps et au fil des ouvrages écrits et publiés, ce cahier s’est étoffé, s’est enrichi de beaucoup de notes techniques, de codes, de données spécifiques au monde de l’imprimerie et de l’édition.
Parallèlement, mes livres déjà parus poursuivent leur petit bonhomme de chemin.
En cette période de l’année, l’un d’eux est particulièrement sollicité par les personnes qui ne savent comment annoncer à leur enfant que le Père Noël est un mythe: Dis, c’est vrai que le Père Noël n’existe pas?
Pour le moment, mon petit-fils y croit encore… ou a envie d’y croire, comme le dit joliment mon fils.
Et je suis touchée à l’avance à l’idée qu’il franchira peut-être cette étape de sa vie à travers mon histoire…