Le monde de rêve d’Avatar…

Avez-vous vu les films de la série « Avatar », du réalisateur James Cameron?
Pour ma part, je n’y ai pas résisté…
Dans le premier comme le deuxième (La voie de l’eau), j’ai adoré l’un des aspects des films et pas l’autre.
Ce que j’aime?
La philosophie douce de ce peuple humanoïde des Na’vis entretenant une relation écologique et spirituelle intense avec la nature.
Sur Pandora où ils habitent, celle-ci est luxuriante, sublime de beauté…
Quant à ses habitants, ce sont de magnifiques géants bleus et fin, dotés d’une queue,  chevauchant des créatures préhistoriques volantes sauvages.
Voir évoluer ce peuple sage dans un tel décor est un régal, un rêve éveillé.
Mais comme il faut évidemment un scénario et des rebondissements pour ne pas lasser le public, de vilains Terriens violents et antipathiques à souhait viennent mettre la planète à feu et à sang.
Et ça, je n’aime pas du tout…
Dans le premier opus, ils le font pour s’emparer de l’unibtanium, un minerai  jusqu’alors inconnu susceptible de  résoudre la crise énergétique qui étouffe la Terre.
Et dans le deuxième volet, rebelote: les Na’vis subissent à nouveau les assauts d’avatars Na’vis humains « reconstruits » avec les souvenirs de soldats décédés.
Ils sont conduits par leur chef , le colonel Quaritch, qui avait pris soin de sauvegarder ses souvenirs et sa personnalité avant le combat où il a perdu la vie.
Comme on peut s’y attendre, sa soif de vengeance est insatiable… 
Vu qu’il en veut particulièrement au couple qui l’a tué dans le premier film, celui-ci s’exile avec sa famille chez un clan côtier de Pandora, ce qui nous entraîne cette fois dans la magie du peuple de l’eau…
Et bien entendu, l’infréquentable Quaritch retrouve leur trace…
Vous me suivez?
Ce deuxième volet dure plus de 3 heures. 
Je vais donc vous épargner les détails.
Après avoir vu chacun de ces films, je me suis demandé: suis-je la seule qui adorerait une version « soft » d’Avatar, sans agression?
Juste pour ne pas implanter les travers de notre monde dans les lieux rêvés…
Mais, me direz-vous… cela ne marcherait peut-être pas au box-office…

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