J’ai toujours pensé que pour éviter de se rendre malade lorsque quelque chose nous préoccupe, mieux vaut exprimer ce que l’on ressent, que ce soit par écrit ou par la parole.
Ce mercredi, je suis sans voix, sans mots…
Nous sommes continuellement malmenés par des informations qui nous décrivent abondamment les horreurs de notre monde.
Des crimes, des catastrophes, des attentats, des menaces, des malversations, des incivilités, des suicides d’enfants harcelés par leurs soi-disants « camarades », autant de drames qui, à chaque fois, nous écoeurent, nous assomment, nous rendent tristes, nous révoltent…
Aujourd’hui, un individu s’est attaqué à six personnes, dont des bébés… de petits enfants qui jouaient dans un parc.
Nous ressentons tous la même chose.
Le même dégoût, la même stupeur, ce même insupportable sentiment d’impuissance…
Et une immense colère face à ces personnages qui semblent vivre sans conscience.
C’est inimaginable…
Voilà… j’ai écrit à peu près ce que je ressens.
Mais franchement… cette fois, cela ne m’apaise pas.