En prévision de la petite intervention que je dois subir prochainement, mais dont je ne connaissais pas la date jusqu’à hier, j’avais mis en veille mon activité « ateliers d’écriture pour enfants », expliquant à la responsable de la coordination des ateliers que je serais à nouveau disponible au printemps.
La semaine dernière, elle m’a appelée pour me proposer une nouvelle aventure, prévue pour les deux premiers mois de l’année.
Il s’agissait de travailler avec des enfants sur la création d’un journal qui serait en relation avec le Prix UNICEF de littérature jeunesse sur le thème de la pauvreté et des inégalités sociales.
Prix qui aura pour prestigieux parrain l’écrivain Erik Orsenna,,.
Il m’est évidemment impossible de rester insensible à un tel sujet…
Une date de réunion était prévue pour préparer le projet qui sera mené conjointement avec un groupe de lecture qui avancera de son côté, il a donc fallu expliquer que j’étais tributaire de cette inconnue qui m’empêchait de disposer de mon emploi du temps tant que je ne savais pas quand je devrais refaire une courte escale à l’hôpital.
Qu’à cela ne tienne: la responsable, que je connais bien désormais pour la côtoyer depuis trois ans déjà, m’a assuré que la date de la réunion serait déplacée en fonction de moi.
Rassurée sur ce détail, j’ai repris le fil de ma semaine.
Parallèlement au travail que je dois mener à bien en ce moment, j’ai commencé à réfléchir et à travailler sur la mise en place du contenu, les pistes à explorer avec les enfants…
Ce sera une belle façon de commencer l’année qui s’annonce!