Dans ce monde compliqué, la moindre occasion de se rafraîchir l’esprit et le cœur est bonne à prendre…
Et la sortie du nouvel Astérix est l’un de ces petits événements impossibles à manquer!
Mon Capitaine en est bien conscient, et a ramené le Graal au lendemain de sa parution.
Ce nouvel opus (mais ça, vous le savez déjà!) s’appelle « L’iris Blanc » .
Et merci, merci, merci à Fabcaro et Didier Conrad qui ont réussi là, un excellent album qui nous fait passer un très bon moment…
Si vous hésitez encore à l’acheter de peur d’être déçu (évidemment… nous avons tous tendance à faire la comparaison avec l’Astérix des origines…), oubliez vos craintes: il est vraiment à la hauteur des histoires et des dessins de Goscinny et d’Uderzo.
Le scénario est efficace, l’humour présent à chaque page, l’histoire colle à l’air du temps, truffée d’allusions malicieuses.
Je ne vais pas vous raconter l’histoire, qui est détaillée en long et en large dans les médias, mais je vais vous confier un secret pas si secret que cela…
Ma « case BD » préférée, dans cet album, se trouve à la page 16 (la septième…) Elle est parfaite…
Voir Obélix faire la leçon aux sangliers devenus trop familiers pour que la chasse reste une activité plaisante à ses yeux, est un régal…