Pour ceux qui n’auraient pas suivi…
Il y a quelques années, j’ai été happée par un film de Noël mettant en scène une jeune femme à la recherche d’une figurine de Casse-Noisette très particulière.
J’étais depuis toujours fan absolue du ballet du même nom et de la musique de Tchaïkovski, et… j’ai acheté ma première statuette de Casse-Noisette, en bois.
De fil en aiguille, à force d’en acquérir de temps en temps et d’en recevoir, une collection s’est constituée.
La plupart de mes Casses-Noisettes sont disséminés dans la maison, mais de telle façon qu’ils ne s’imposent pas.
Ils vivent au milieu de mes livres, et rares sont les personnes qui se rendent compte qu’ils sont nombreux.
En cette période de fêtes, évidemment, je les mets à l’honneur…
Le plus grand d’entre eux, qui mesure 75 cm, quitte ma chambre où il trône d’habitude, pour descendre parmi nous.
Et l’armée des plus petits, qui ne sortent eux aussi qu’à Noël squatte la véranda et le sapin.
Tous les autres restent à leurs postes.
Parmi eux, mes préférés: l’Ecossais, les Américains, le Cavalier, la boîte à musique…
Parce que certains d’entre vous m’ont demandé, par le passé, si je pouvais en montrer quelques-uns, voici un florilège de quelques pièces de ma collection.
A propos… ce matin je les ai comptés.
Il y en a 31 au salon, 1 dans la chambre et 14 font partie de la panoplie de Noël qui sort pendant les fêtes.
C’est raisonnable. Si, si!