J’ai reçu cette semaine le bulletin de décembre de l’association Défense du français dont le siège se trouve à Lausanne.
Je l’ai lu d’un bout à l’autre, enthousiasmée de voir qu’à l’heure des émoticones et du langage SMS, il existe encore, un peu partout en francophonie, des irréductibles capables de chasser les anglicismes, rectifier les erreurs de langage et protéger cette langue subtile qui est la nôtre…
J’avais une grande envie d’en parler aujourd’hui pour vous donner envie d’aller jeter un coup au site de l’association pour en savoir un peu plus ou, qui sait, la rejoindre…