Le bonheur au travail

J’ai découvert un entrefilet, cette semaine, qui m’a poussée à consulter le dossier de presse d’une enquête nationale menée en Belgique sur le bonheur au travail.
Elle a été réalisée par l’assureur NN et l’Université de Gand.
Ce qui m’a le plus intéressée a été de découvrir les cinq facteurs déterminant ressortis de l’enquête, pour assurer ce fameux bonheur au travail:

Un travail qui a du sens
– Le soutien du supérieur hiérarchique
– La possibilité d’utiliser ses compétences et son expertise
– La santé subjective
– L’équilibre entre vie professionnelle et vie privée, ainsi que, ex aequo, la qualité du sommeil.


Savoir que trois Belges sur 4 sont heureux dans leur profession, indépendants en tête, et estiment donc bénéficier de ces cinq éléments m’a surprise. C’est énorme…
En 2022, un article de Sciences Po, en France, avait indiqué que 61% des salariés considéraient que le bonheur au travail était plus important que le salaire.
Et l’éclairage apporté par Patrick Légeron, psychiatre, spécialiste du stress au travail et fondateur du cabinet Stimulus, se terminait par cette conclusion:
Les salariés heureux seraient en effet 31% plus productifs et 55% plus créatifs que leurs homologues insatisfaits, mais aussi 25% moins absents et malades. “Si les entreprises n’ont pas obligation à rendre leurs salariés heureux, elles semblent en tout cas avoir tout intérêt à le faire !”.





par

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *