Nous avons une carte d’abonnement pour le cinéma, et il restait deux places à honorer avant son échéance.
Comme nous n’avions que quelques jours pour le faire, nous sommes retournés nous installer dans une salle obscure une deuxième fois cette semaine. Le choix du film s’est porté sur Les Tuche 5…
Par le passé, la famille Tuche nous avait déjà offert quelques moments légers et amusants lors de diffusions télévisées.
Alors, l’idée d’en découvrir un nouvel opus sur grand écran paraissait prometteuse.
Par les temps qui courent, tout le monde a besoin de légèreté et de de divertissement.
Sauf que cette fois… même si j’aime beaucoup Isabelle Nanty et Jean-Paul Rouve, j’avoue que, pour cet épisode, l’humour, qui faisait le charme des premiers films, semblait s’être un peu essoufflé.
En revanche, j’ai souri en revoyant Bernard Menez à l’écran, transformé en roi d’Angleterre.
Sans être une expérience désastreuse, la séance a semblé plus longue que prévu, et je me suis surprise à penser qu’une rediffusion télévisée aurait peut-être mieux convenu.
Résultat: au lieu d’être absorbée par l’histoire, j’ai eu tout le loisir de remarquer, autour de moi, des détails qui, en temps normal, seraient passés inaperçus.
Parfois, le cinéma réserve de belles découvertes.
D’autres fois, il nous offre l’occasion inattendue d’analyser l’architecture de la salle.
En deux jours, nous avons vécu les deux expériences…
