Coucou, me revoiloù!

Quatre jours!
Il m’a fallu quatre jours pour venir à bout de l’Opération « Mac Mini Bis ».
Je m’y attendais un peu, mais j’ai eu droit à toutes les vicissitudes que peut parfois nous réserver l’univers de l’informatique.
Ce qui me fait grogner, mais me permet de me tester, ce qui est toujours très, heu… stimulant.
Lorsque j’ai acheté mon dernier ordinateur, c’était par obligation.
Le mien ne pouvait plus recevoir de mise à jour, ce qui avait posé problème dans l’installation et l’utilisation de certaines applications.
Je voulais donc investir dans un iMac que j’espérais pouvoir trouver avec un écran géant.
Depuis trois ans, je caressais le souhait de le trouver en 32 ou 34 pouces.
J’ai attendu patiemment la sortie des nouveaux iMac et là, déception: ils n’avaient que des 27 pouces.
Je ne pouvais plus attendre.
J’ai donc pris un Mac Mini auquel j’ai adjoint un grand écran qui n’était pas un écran Mac.
Moins pratique, donc, mais beaucoup moins cher.
A mes yeux il s’agissait d’une solution de transition en attendant mieux… sachant que mon but était d’avoir au final une station de deux ordinateurs en réseaux que je pourrais utiliser en toute sécurité, et que j’aurais installée selon mes propres exigences.
J’ai patienté trois autres années, réalisant que les nouvelles sorties de Mac ne proposaient toujours pas d’iMac comme je le souhaitais.
En attendant, travailler avec un écran indépendant devenait pénible, pas très pratique.
J’ai donc fini par prendre la décision d’investir dans un écran un peu plus petit adjoint à un deuxième Mac Mini nouvelle génération.
Le temps d’économiser, de bien mûrir mon projet… et le grand jour est arrivé, la semaine dernière: j’ai commandé et reçu mon nouveau matériel.
Si vous faites partie de ceux qui, comme moi, êtes fans d’Apple, vous connaissez certainement le fameux Assistant de Migration qui permet de transférer les données d’un Mac à un autre.
Je l’ai déjà fait plusieurs fois par le passé… mais cette fois, la procédure s’est compliquée.
A tel point que j’ai dû trouver des solutions pour transférer la majorité des dossiers et des applications manuellement.
J’ai une pensée émue pour mon disque dur externe qui a été mon allié dans la bataille…
J’ai passé quatre jours pleins à mon bureau, à travailler sur chaque souci pour lui trouver une solution.
Imaginez: chacun de mes deux Mac (que je continue à appeler Max dans l’intimité) était branché sur un écran individuel.
Mais comme mon bureau n’est pas extensible, ils se chevauchaient légèrement, m’empêchant de voir les icônes majeures pour ce travail.
Et les déplacer à la verticale dans mon champ de vision n’aidait pas: elles se présentaient alors trop petites pour être distinguées.
De plus, les ports de connexion ont changé d’un ordi à l’autre.
Donc, les prises de souris et de claviers ne sont plus compatibles à moins d’avoir des adaptateurs ou un « hub » servant de station d’accueil à des prises différentes.
A chaque fois, il fallait jongler avec les prises, le matériel…
Puis il a fallu récupérer une à une les applications et les remettre en service, ce qui n’est pas une mince affaire.
Ce dimanche, ne restait plus qu’à peaufiner tout cela en reprenant les soucis mineurs à régler.
Je suis ravie d’y être arrivée seule sans devenir complètement folle.
Mais je garderai longtemps en mémoire ces quatre jours… et une anecdote mémorable que je vous raconterai demain!

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