Jurassic World: Renaissance

Dimanche, mon Capitaine et moi avions décidé de filer au cinéma.
Après avoir revu récemment toute la saga Jurassic Park et Jurassic World à la télévision, nous avions envie de découvrir le tout dernier opus, Jurassic World: Renaissance.
Bonne surprise d’entrée: nous n’étions pas installés depuis longtemps lorsqu’un couple de nos amis, deux jeunes enseignants, sont arrivés.
Nous avons passé ce moment mémorable ensemble…
Ce nouvel épisode nous emmène dans un monde où les dinosaures ne fascinent plus personne.
L’environnement actuel de la planète leur est hostile, et la plupart meurent les uns après les autres.
Ceux qui survivent se sont repliés dans des zones équatoriales isolées, recréant des conditions de vie proches de celles de leur époque d’origine.
Parmi ces derniers spécimens se trouvent des hybrides créés par l’homme, et trois d’entre eux pourraient détenir la clé d’un remède capable de soigner les pires maladies de l’humanité.
Pour cela, une mission est envoyée pour prélever leur sang, dans un contexte de danger extrême, évidemment.
Il faut bien l’avouer, le scénario n’est pas la première force de ce film.
Traditionnellement, les vilains ont un très mauvais karma: ils se font toujours croquer.
Les gentils, eux, réchappent in extremis à des fins horribles, et, pour pimenter le tout, une enfant est rajoutée à l’histoire pour faire frémir un peu plus les spectateurs.
En revanche, ce qui emporte tout, c’est le spectacle, les décors, et, bien sûr, les « bêbêtes », terrifiantes à souhait.
Les effets spéciaux sont impressionnants, certaines séquences terrifiantes – mon amie et moi sursautions exactement aux mêmes moments… ça rapproche! – et les acteurs sont crédibles dans leurs rôles.
Les dinos sont décidément un bon filon pour les producteurs, et le fait de voir la salle bien remplie était réconfortant.
Les salles de cinéma méritent ces jours d’affluence…

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