Les biorythmes, vous connaissez?

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi, certains jours, vous avez l’impression de pouvoir soulever des montagnes, et le lendemain, à peine votre tasse de café?
Ce n’est pas toujours une question de sommeil, de repas copieux ou de temps gris.
Une explication se cache peut-être dans la théorie des biorhythmes, selon laquelle chaque personne vivrait au rythme de trois cycles invisibles.
Le premier est le cycle physique, d’une durée de vingt-trois jours.
Quand il atteint son sommet, l’énergie circule facilement, le corps répond bien, les gestes sont vifs, le moral est solide. C’est souvent le moment idéal pour entreprendre, marcher longtemps, jardiner ou remettre de l’ordre chez soi.
Quand le cycle redescend, le corps réclame davantage de repos, la fatigue s’installe plus vite, la motivation s’émousse.
Le deuxième est le cycle émotionnel, d’environ vingt-huit jours.
Il agit comme une marée intérieure.
Durant la phase ascendante, les émotions sont positives, les échanges harmonieux, la créativité stimulée.
Durant la phase descendante, l’humeur se teinte de mélancolie, la sensibilité s’accentue, et les relations demandent un peu plus de patience.
Le troisième est le cycle intellectuel, d’une durée de trente-trois jours.
Lorsque ce cycle grimpe, la concentration est excellente, les idées claires, la mémoire alerte.
Quand il chute, mieux vaut éviter les décisions importantes ou les tâches demandant une grande précision.
Certaines personnes aiment calculer leurs biorhythmes pour comprendre pourquoi certaines journées semblent légères et d’autres plus lourdes.
Que l’on soit convaincu ou non, cette théorie a au moins le mérite de rappeler que l’énergie, les émotions et la réflexion évoluent par vagues, parfois en harmonie, parfois en décalage, dessinant le rythme singulier de chaque vie.

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