Ne me dites pas que cela ne vous est jamais arrivé?
De mon côté c’est devenu tellement fréquent que je m’y attends à chaque fin de semaine.
Cette fois, vendredi, je m’étais dit: « Ce week-end, je travaillerai seulement une ou deux heures samedi et dimanche matin pour m’avancer un peu, puis, pour le reste: liberté! »
J’ai tenu ma promesse.
Travail et farniente en mode relâche, à raison de 1/3 – 2/3.
Profitant en prime du plaisir de partager notre vie entre deux pays… et d’avoir droit à deux Fêtes des Mères à deux dates différentes!
Hier, c’était en France où nous avons retrouvé mon fils cadet, notre Fleur d’Asie, trois de nos bouts de chou et Pomme, bien sûr, pour un moment doux et joyeux.
Un repas sur une terrasse ensoleillée, des conversations détendues, le charme de ces trois enfants si attachants, un bon repas et mon fils qui s’éclipse au café pour aller me chercher un magnifique bouquet de fleurs…
Ce fut un beau jour.
Lundi matin.
Le week*end a filé au galop.
Maintenant que j’ai appris à les aimer, ces fins de semaine, je voudrais que leurs heures passent moins vite.
Mais attention: je ne suis pas « lundiphobe »!
Ce matin , mon bureau est ensoleillé, un bouquet de pivoines (offertes par mon fils aîné cette fois! Hé oui: la Fête des Mères côté Suisse!) trône sur mon bureau, et la porte-fenêtre ouverte sur le balcon me donne une vue privilégiée sur les fleurs, les petits fruits, les arbustes et les plantes de mon Capitaine.
Une véritable brousse domestiquée!
Le moindre léger souffle de vent me fait parvenir le parfum des roses.
Une journée très remplie m’attend.
J’ai de la chance…
Martine Bernier