L’été dernier, j’ai écouté l’une des filles de ma chère Dame de Chiboz me parler de son coach électronique et… je me suis laissée tenter.
Je me suis procuré un Alta, petit objet qui fait également office de montre, qui se fixe au poignet et qui compte vos pas, vous rappelant à l’ordre si vous ne bougez par assez.
Brave petit.
L’objet en question est doublé d’une connexion sur votre compte en ligne, qui vous permet de visualiser vos progrès.
A ceci près que, pour moi, la connexion s’et faite une unique fois… puis la synchronisation n’a plus fonctionné.
J’ai mis un mot l’équipe Fitbit qui m’a donné quelques conseil.
J’ai essayé sans succès de les appliquer… et je n’ai pas insisté.
Mon Alta a continué à être un compagnon de tous les jours qui me motive par de petites vibrations lorsqu’il voit que je ne bouge pas assez, et me donne mes progrès de la journée sans concession.
Le temps s’est écoulé.
Prise par mon emploi du temps, je n’ai pas cherché à recontacter la marque.
Jusqu’à ce mois de janvier.
Frustrée de ne pas pouvoir synchroniser l’Alta avec le compte, j’ai expliqué mon problème par mail au service après-vente en ligne, sans grand espoir.
Nous avons échangé plusieurs messages sans jamais réussir à régler le problème.
Finalement, en peu de temps, Fitbit a décidé de me remplacer l’objet défectueux et m’en a fait parvenir un autre par Poste.
Pendant quelques jours, impossible de connecter le nouveau venu non plus.
Dépitée, j’ai recontacté mes interlocuteurs, toujours aussi disponibles (y compris le week-end!).
Et j’ai fini par réussir l’opération en neutralisant le premier appareil.
Depuis, tout fonctionne parfaitement.
Pourquoi diable consacre-t-elle un article aussi publicitaire à un produit sur un site qui n’a aucune vocation mercantile, me direz-vous?
Simplement parce que j’ai rarement profité d’un service après-vente aussi rigoureux et aussi aimable.
Le respect de la clientèle n’est pas un vain mot pour eux, visiblement, et cette philosophie m’a touchée.
C’est suffisamment rare pour que cela mérite d’être signalé!
Martine Bernier
PS: Merci à celles et ceux qui m’ont avertie que, en raison d’un incident technique, une partie de mon texte avait été escamoté. Le souci est réglé!