Dans mon métier, on les appelle les « marronniers », ces sujets qui reviennent chaque année et que l’on essaie de traiter de la manière la plus intéressante et originale possible.
Des marronniers, il en existe des quantités dans la vie quotidienne.
Noël en est un, important, incontournable, précieux.
Ce mardi, donc, je me suis livrée à l’un de ces rituels: réaliser la déco du sapin et de la maison en prévision des fêtes.
Une matinée entière a été nécessaire… et encore: le village de Noël n’est pas installé.
Chaque année quelques nouveaux éléments viennent s’ajouter aux précédents.
Et chaque année, c’est avec le même plaisir que je les retrouve.
Le coup d’envoi de la période déco est marqué par un événement lui aussi rituel: l’arrivée au salon de mon Casse-Noisette géant qui retrouve sa place à côté de la cheminée.
Lorsque j’ouvre les cartons contenant guirlandes, boules et figurines, c’est avec une petite joie particulière que je vois réapparaître mes armées de mini Casse-Noisettes.
Tchaikovsky reste un invité permanent de cette période spéciale…
Martine Péters (Bernier)