Ce lundi, direction Besançon pour mon deuxième rendez-vous chez l’ophtalmologue qui m’a acceptée comme cliente il y a quelques mois.
Que ce soit en France ou ailleurs, nous sommes tous devant un constat incontournable: cette discipline médicale fait partie de celles dont nous avons tous ou presque besoin un jour ou l’autre, mais pour laquelle il est compliqué de trouver un spécialiste d’accord de prendre de nouveaux patients.
Il y a six mois, j’ai eu la chance, alors que je devais absolument consulter sur la demande de l’orthoptiste, de recevoir les coordonnées d’un jeune médecin ophtalmo dont j’ai déjà parlé ici.
Il m’a reçue à peine trois semaines après mon appel, et m’a fait entrer dans un protocole de surveillance qui me ramène tous les six mois à son cabinet.
Les nouvelles technologies liées à ce domaine de la médecine me sidèrent à chaque fois que je m’y rends.
Elles permettent des examens très fins et indolores, même pas inconfortables, et un diagnostic extrêmement précis.
Comme pour ma première visite, j’ai toujours l’impression, lorsque j’entre dans ce cabinet, de pénétrer dans l’antre moderne de la médecine du futur.
Mon moment préféré est celui où le médecin me laisse regarder sur ses écrans (au pluriel, oui…) les clichés relatifs à chaque examen.
C’est fascinant…
Bilan de l’opération: moi qui ai horreur des rendez-vous médicaux, je me rends à celui-ci avec le sentiment de retourner visiter un univers de science-fiction.