Cela ne vous aura pas échappé: nous sommes désormais en plein coeur de l’automne.
Dans la région, cela se traduit, en vrac, par de la pluie, du vent, une rivière qui veut se faire aussi grosse qu’un fleuve et qui inonde les prés aux alentours.
Dans le jardin, l’heure est théoriquement au grand repos.
J’ai bien dit théoriquement.
Devant mon bureau, mon cher camélia rose est couvert de boutons, avec quelques semaines d’avance sur le programme habituel.
Il devrait fleurir en janvier… mais il semble décider à le faire plus tôt.
Et puis les rosiers… hier, j’ai photographié les deux dernière roses.
Elles sont moins belles que celles qui éclosent au printemps, mais elles sont là, émouvantes, fragiles, froissées et malmenées par les intempéries… et
Je précise qu’elles proviennent toutes deux de rosiers anglais David Austin: Susan Williams-Ellis et Lichfield Angel.