A Noël dernier, mon Capitaine avait posé plusieurs cadeaux à mon intention…
Et parmi eux se trouvait un gros flacon d’Eau de Rochas.
Il savait que ce parfum, qui fait partie des « eaux vives », m’intriguait.
J’ai donc commencé à me familiariser avec ce flacon qui a accompagné des générations de femmes sans se démoder et qui est l’un des piliers de l’histoire de la parfumerie.
Créé une première fois en 1948par Edmond Roudnitska à la demande du couturier Marcel Rochas, il a tout d’abord porté un nom différent: L’Eau de Roche.
Puis, en 1970, Hélène Rochas décide d’apporter un souffle nouveau à cette Eau qui se transforme grâce au Parfumeur Maison de l’époque Nicolas Mamounas.
Rebaptisée au passage L’Eau de Rochas, elle est toujours présentée pas la Maison Rochat comme « une eau de Cologne s’adressant aux femmes. Dans cette infusion d’agrumes et de verveine, flottent des fleurs fraîchement cueillies – jasmin, narcisse, rose – au sillage éblouissant. L’Hédione, une molécule de synthèse intelligente, propulse le sillage comme une cascade cristalline qui électrise les sens. Le fond chypré plus opulent mêlant mousse de chêne, de myrrhe et de vétiver, donne de la profondeur à l’ensemble et véhicule cette fraîcheur si particulière plus longtemps, sans jamais l’altérer. »
L’évolution est concluante: en 3 ans, l’Eau de Rochas devient le parfum le plus vendu au monde!
Depuis Noël, donc, le flacon sculptural surmonté d’un imposant cabochon trône dans la salle de bain.
Je change souvent de parfums, en fonction de mes humeurs.
La fraîcheur de celui-ci m’accompagne très régulièrement, en ce moment, en alternance avec le 19 de Chanel qui se marie parfaitement avec la saison, à mes yeux et, surtout, à mon odorat!
Je continue à trouver que les parfums sont des alliés précieux au quotidien…
