Ce mardi a marqué un tournant.
Depuis l’arrivée de mon nouveau Mac, c’est la toute première fois que j’ai pu vraiment recommencer à travailler. Jusqu’ici, chaque jour avait été absorbé par cette grande réinstallation dont j’avais parlé. Tout devait retrouver sa place.
Chaque application, chaque dossier, chaque détail. Il a fallu peaufiner les réglages, récupérer les données, m’assurer que tout redevenait exactement comme avant… voire mieux.
Et cette fois, ça y est.
Tout fonctionne. Tout est reparti. Et je suis ravie de mon choix…
Moi qui, encore récemment, me demandais si je n’avais pas fait une énorme bêtise en changeant de machine.
Mais non. J’ai bien fait.
Mais franchement… encore heureux que j’ai attendu d’être en « vacances journalistiques » pour me lancer dans cette aventure.
C’aurait été une belle pagaille si j’avais eu à terminer mes articles dans ces conditions…
Ce mardi donc, j’ai pu reprendre le travail de façon fluide, efficace.
Et j’ai avancé sur le livre que j’écris en ce moment.
Je pense qu’il sera terminé avant août, prêt à être imprimé pour la rentrée.
Ce qui, entre nous, me réjouit.
Je ne me sens jamais aussi bien que lorsque je peux retrouver mes écrits et le confort d’un environnement de travail ordonné.
Avec le temps, j’ai compris que changer d’ordinateur, ce n’est pas juste une question de matériel, c’est un vrai déménagement, mon Mac, que, donc, j’ai baptisé Max, est comme une maison.
Une maison dans laquelle chaque chose a sa place.
Chaque projet, chaque image, chaque texte vit dans sa propre pièce, avec ses habitudes.
Et maintenant que tout est rangé, fluide, accueillant, c’est comme si j’avais retrouvé mon chez-moi.
Un chez-moi neuf, mais familier.
Cosy, inspirant… j’y suis bien. Enfin!