L’auto édition au quotidien!

Depuis plusieurs mois, j’écris.
Cela ne change en rien mes habitudes, c’est vrai…
Mais cette fois, la biographie dans laquelle je me suis engagée me passionne tout particulièrement.
J’en parlerai en détail un peu plus tard.
J’y consacre une grande partie de mon temps, avec le souhait de pouvoir la terminer avant la fin de l’année ou au début de l’année prochaine.
Parallèlement, je continue à écrire mes articles, à animer l’atelier d’écriture, à savourer les instants passés avec mes proches, et à m’occuper de mille autres choses du quotidien qui, sans en avoir l’air, grignotent beaucoup de temps.
Parmi les objectifs que je m’étais fixés en début d’année, certains concernaient directement ma petite maison d’édition.
Je m’étais promis de lui offrir davantage de visibilité, de la faire évoluer.
Ma participation au petit Salon du Livre de Lure a été un déclic.
Cela m’a donné des idées, un regain d’énergie.
Cette année, j’ai publié un livre, un second est prêt et devrait paraître dans les semaines à venir, et j’avance sur le suivant.
En parallèle, j’ai entrepris de faire en sorte que mes ouvrages soient enfin répertoriés dans les bases de données utilisées par les libraires, en France comme ailleurs.
La base Electre est désormais à jour, et j’ai signé ce matin un contrat avec une autre plateforme de référencement encore plus largement utilisée.
Si tout va bien, cette partie-là sera finalisée dans les prochains jours.
Apprendre le métier d’éditrice indépendante ne se fait pas sur des bancs d’école. Cela se construit sur le terrain, au fil des expériences, des rencontres, des démarches, des erreurs aussi.
Je compte suivre une formation accélérée d’ici la fin de l’année, pour affiner ce que j’ai commencé à mettre en place.
Et surtout, je ne suis pas seule.
Pour le placement de mes livres dans les commerces dans la région, je suis épaulée avec une efficacité précieuse par mon Capitaine, qui a pris un rôle que je n’avais pas anticipé au départ.
Nous ne sommes pas qu’un couple… nous sommes un binôme dans lequel il a trouvé sa place discrètement… alors qu’il a beaucoup de responsabilités par ailleurs.
Quand j’étais adolescente, si l’on me demandait ce que je voulais faire plus tard, je répondais que j’avais envie d’écrire.
Je ne savais pas quoi exactement, ni dans quel cadre, mais je savais que je voulais ne faire que cela.
Et je rajoutais que, surtout… je voulais ne jamais m’ennuyer.
Je suis servie!

par

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *