Aujourd’hui, une fois de plus, je repasse par la case hôpital pour la troisième intervention.
Pas le temps d’écrire un texte, donc.
Mais celui de vous livrer quatre vers tirés de « L’héautontimorouménos » de Baudelaire.
Des vers qui me poursuivent depuis que je suis en âge de lire la poésie, et qui concerne, je crois, chacun d’entre nous…
Je suis la plaie et le couteau
Je suis le soufflet et la joue
Je suis les membres et la roue
Et la victime et le bourreau
Il y a matière à réfléchir!
Martine Bernier