Les textes d’Ecriplume seront riches, la semaine prochaine, si j’utilise la matière engrangée depuis notre départ.
En attendant, permettez-moi un billet d’humeur.
Je fais partie de ceux qui ne sont pas très fans des chambres d’hôtes.
J’ai connu le meilleur, dans le genre, dans le Doubs.
Mais j’ai également eu l’occasion de découvrir le pire.
Notamment hier.
Contrairement à nos habitudes, comme il n’y avait pas franchement de choix dans la région que nous avons traversée, nous nous sommes retrouvés pris au piège d’un gîte présenté comme très attrayant sur Internet.
Hum.
J’ai rarement eu l’occasion de passer une aussi mauvaise nuit, dans des conditions aussi lamentables.
Nous aurions dû y rester deux nuits.
Inutile de préciser que nous avons mis un terme à l’expérience avant terme.
Les autres personnes qui, comme nous, ont commis l’erreur de faire escale au même endroit étaient aussi déconfits que nous…
Franchement… N’y a-t-il aucun organisme pour contrôler ce genre de commerce?
Et le Guide du Routard, qui avait plébiscité l’endroit dans l’une de ses précédentes éditions a-t-il réellement visité et essayé la chambre?
Nous sommes décidés à ne plus renouveler l’expérience.
Ce soir, c’est dans un hôtel de charme plus que confortable que nous nous sommes arrêtés.
Et nous en profitons sans le moindre remord.
Mais le concept des chambres d’hôte est très clairement sali par ce genre d’exemple de personnes peu soucieuses de la clientèle, leur proposant des locaux plus que défraîchis et des installations défectueuses voire dangereuses.
Pour nous, une expériene à oublier d’urgence.
Martine Bernier
