La perte d’un rosier est toujours une déception et une peine.
Voir mourir celui appelé Charlotte de Turckheim en l’honneur de la sympathique actrice et humoriste du même nom a été un crève-coeur.
Je l’avais acheté chez Guillot, et il m’avait été envoyé le 24-01-2018, sous forme de racines nues.
Je n’avais aucune raison de l’acheter: il n’était ni un rosier anglais, ni un rosier ancien… mais j’avais envie de d’ouvrir mon horizon.
Je savais qu’il faisait partie de la gamme Générosa, promettant un parfum puissant.
Il a donc été planté dans le premier parterre rond situé au coin de la véranda.
Un lieu qui ne lui a visiblement pas convenu…
Sa première floraison a donné des fleurs très abîmées dès leur ouverture, beaucoup plus foncées que celles annoncées.
Le rosier restait très petit, ne s’épanouissait pas malgré tous nos soins et les précautions prises à la plantation.
J’ai attendu la suite… qui a été catastrophique.
Après avoir donné une unique et ultime rose en été, le rosier est mort.
C’était le deuxième que je perdais, issu de la roseraie Guillot.
Il avait beaucoup plu durant le printemps, mais je ne suis pas sûre que cela explique cette fin très prématurée.
Ecriplume