De nombreux rosiers sont arrivés ces derniers jours, comme je l’ai expliqué récemment.
L’un d’eux présentait une particularité assez inattendue…
Arrivé en pot, le rosier anglais Charles Darwin de David Austin arborait discrètement un bouton…
Je ne sais pas s’il arrivera à éclore malgré la pluie et l’absence de soleil, mais j’avoue qu’il est porteur d’espoir.
Lorsqu’un rosier arrive, en automne ou au début de l’hiver, pour être planté, il se présente en racines nues ou en motte.
Jamais, en cette période, je n’avais vu l’un d’eux arborer un bouton.
Même si je sais à peu près ou très précisément à quoi ressembleront leurs fleurs, chacun d’eux reste une sorte de paquet surprise, un cadeau de Noël qui resterait emballé jusqu’au printemps…
Ils ont beau être plantés immédiatement ou presque, ils n’apparaissent dans toute le beauté qu’à la première floraison, quelques mois plus tard.Là, ce bouton pourrait lever le voile plus tôt que prévu sur un rosier que j’ai, comme tous les autres, très envie de découvrir.
Les fleurs de Charles Darwin sont d’un jaune éclatant tirant parfois sur l’abricot selon le temps.
Elles sont connues pour leur beauté et leur parfum puissant.
Bref, elle pourraient rivaliser avec mon autre rosier d’or: Golden Celebration.
Je ne présente mes rosiers en détails que lorsqu’ils ont fleuri, pour pouvoir accompagner la présentation de mes propres photos.
S’il tient la promesse qu’il me fait… il pourrait être présenté plus tôt que prévu…
Ecriplume