Il a été le premier en fleurs, cette année et, depuis, Susan Williams-Ellis n’a pas cessé de m’offrir une profusion de roses.
Celui que je surnomme « mon bel ébourriffé » avait, semble-t-il, appris à se coiffer, cette année.
Ses roses étaient pleines, parfaites.
Et là… il continue à fleurir, en retombant sans ses délicieux travers, donnant naissance à des roses ni rondes ni parfaites mais, comme l’indique son surnom, à l’aspect totalement anarchique.
Il m’amuse, me séduit et achève de me capturer grâce à son parfum…
Je ne peux décidément plus me passer de ce fidèle rosier anglais, création de David Austin, qui, je le sais sera l’un des derniers à s’endormir pour l’hiver dans quelques semaines.
Ecriplume