Un rosier nain rouge dans le jardin

Rosier Zepeti de Meilland (photo Martine Péters)

Il faut bien l’avouer: je n’avais pas du tout prévu de l’acheter…
Je ne suis pas très fan des rosiers rouges, à de rares exceptions près je n’introduis pas de spécimens sans parfum dans la rosier… quand aux mini rosiers, je ne les accueille que dans des pots, pour vivre leur vie dehors en été et dedans en hiver.
Ce jour-là, j’étais à la jardinerie dans l’espoir de trouver notamment des clématites… qui n’avaient pas été livrées.
Tandis que mon mari choisissait des bulbes et des graines pour ses propres plantations, je suis tombée en arrêt devant une petite troupe de rosiers rouges, nains, tous identiques.
Et… j’en ai pris un.
Pourquoi, me direz-vous?

Roses du Jardin des Soeurs (photo Martine Péters)


Parce que depuis trois ans, je recherche désespérément un petit rosier ressemblant à celui que j’avais eu l’occasion de découvrir dans un jardin abandonné ayant appartenu à des religieuses (photo ci-contre).
J’avais eu un coup de foudre total pour ces roses bien rondes, et je ne perds pas l’espoir de retrouver un rosier identique.
Quand j’ai vu Zepeti, j’ai trouvé que, de tout ce que j’avais pu voir jusqu’ici, il était le plus proche de celui que je cherchais.
Il était annoncé comme facile à vivre, résistant au gel, à la pluie et aux maladies, idéal pour les bordures mais aussi la culture en pot, et capable de fleurir de mai aux premières gelées.
Je suis plutôt intransigeante en ce qui concerne les rosiers que j’achète, mais là… pourquoi ne pas lui donner sa chance et lui permettre de faire un bout de chemin avec nous?
Il ajoutera une touche écarlate au bord d’une allée…

Ecriplume


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1 réflexion sur “Un rosier nain rouge dans le jardin”

  1. En confectionnant pour la première fois un jardin il y a presque 20 ans, j’ai retenu de cette expérience et de tous les conseils et observations, reçus et faites à cette époque qu’il était préférable de planter chaque fleur ou arbuste choisis en minimum 3 exemplaires pour provoquer un effet « couleur » ou « feuillage » ou « parfum », j’ai repris ce principe pour le deuxième jardin qui occupe désormais une grande partie de mes loisirs, et que je vis au quotidien, et les effets obtenus au fur et à mesure des saisons sont remarquables. Il faut financièrement aller plus lentement, certes, mais chaque assemblage ravit à travers les saisons ma vocation de jardinier amateur. Appliquez vous ce principe ?

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