Alors que les rosiers remontants se préparent pour une deuxième floraison estivale, prévue dans quelques semaines, une autre hôte du jardin prend ses aises de manière spectaculaire.
En arrivant en France, il y a déjà bientôt six ans, j’avais dans mes bagages trois pieds de vignes offerts par un vigneron suisse.
Mon Capitaine les avait ,dans un premier temps, plantés dans des pots qui avaient trouvé leur place sur notre balcon valaisan, avant de les repiquer en pleine terre, ici, dans le jardin, avec d’autres ceps issus de la vigne de son grand-père.
Très vite, les nouveaux venus ont apprécié ce nouveau lieu de vie, et ont pris leurs aises.
A tel point que, cette année, mon Capitaine a décidé de tendre des tuteurs par dessus le chemin qui mène à la maison, afin de créer une tonnelle basique.
L’initiative a été bien acceptée, si j’en crois l’avancement de la vigne, prête à rejoindre la « rive droite »…
