C’était en novembre dernier, souvenez-vous.
L’un des bâtiments mythiques du site de Pompéi, la maison des gladiateurs, s’était effondré, plongeant le monde dans la consternation.
Manque de fonds pour entretenir les lieux, coupes budgétaires dragstiques, bureaucratie italienne très compliquée, tout avait été mis en cause.
Quand un budget attribué à la culture passe, dans un pays, de 7 milliards d’euros en 2008 à 5 milliards d’euros en 2010 (soit 0,21% du budget national italien), il est clair que les musées en souffrent.
Les spécialistes redoutent que d’autres sotes soient mis en péril par manque de moyens.
Mais, à Pompéi, on s’étonne.
Aucun investissement n’a été effectué pour prévenir les effondrements, souligne Jean-Michel Tobelem, directeur de l’Insitut d’étude et de conseil Option Culture, dans une interview accordée à l’excellent Arts Magazine.
Mais, en revanche, le même Pompéi pour lequel tremblent les experts s’est doté d’animations audiovisuelles flambant neuves.
Cherchez l’erreur…
Martine Bernier