Dans les années, 1970, deux drôles de dames ont amusé mon horizon musical.
J’ai découvert avec ravissement l’extravagante Diane Dufresne, ses tenues folles, ses yeux si particuliers, sa voix teintée d’accent canadien, sa folie, ses chansons.
Et plus particulièrement, comme tout le monde, le fameux titre « J’ai rencontré l’homme de ma vie ».
J’ai énormément aimé cette brise québécoise qui soufflait sur l’Europe, découvrant du même coup ce spécimen étonnant, mais aussi Robert Charlebois, et quelques autres.
J’aimais déjà les chansons de Félix Leclerc et de Gilles Vignault.
Je m’enivrais des rythmes joyeux de cette chanteuse qui avait explosé dans la comédie musicale Starmania.
Dans la même décennie, un autre OVNI a débarqué sur les hit-parades de l’époque: Kate Bush.
Très belle, elle avait presque une voix d’enfant, des yeux écarquillés soulignés d’un trait noir, un teint de porcelaine, des robes longues et une chorégraphie très ample.
Je découvrais « Wuthering Heights », ce tube qui a hanté les radios pendant des mois.
Je ne sais pas pourquoi j’ai repensé à elles ces derniers jours.
Les refrains d’hier me reviennent parfois avec l’envie de les réécouter.
Un parfum de seventies…
Martine Bernier
1 réflexion sur “Diane Dufresne et Kate Bush: ces drôles de nanas….”
Diane, toujours la plus sexy excentrique et meilleure chanteuse du Québec