Le choix de l’arbre…

Je le dis chaque année: j’aime Noël… et j’adore transformer le Nid en décor qui fera pétiller les yeux des enfants.
L’an dernier, mon Capitaine et moi avions joué de malchance avec notre sapin qui était arrivé à Noël un peu déplumé alors qu’il n’avait pas été acheté très tôt.
Nous avions eu la mauvaise idée de l’acheter un peu tard, dans un grand magasin qui ne disposait pas d’un choix sensationnel.
Cette fois, donc, il n’était pas question de retomber dans le même piège.
Hier, profitant du fait que je devais passer en ville pour de nouvelles analyses médicales, nous avons été faire quelques courses.
Et nous avons été interpellés par la présence d’une multitude de sapins de toutes sortes et de toutes tailles, splendides.
La personne qui les vendait n’était pas un vendeur engagé pour l’occasion, incapable de différencier un Nordmann d’un épicéa.
Non.
L’homme  qui se trouvait là était celui qui avait planté ces arbres et les avait coupés.
Mon Capitaine avait un voeu: en trouver un majestueux, aussi grand que lui.
De mon côté, plus pragmatique, je voulais un Nordmann  suffisamment frais pour qu’il porte beau durant toute la durée des fêtes…
Et nous nous sommes retrouvés à déambuler entre les sapins…
L’espace d’un instant, j’ai eu l’impression de me retrouver dans un film de Noël.
Il ne manquait que la neige…
Mon Capitaine est tombé en arrêt devant un spécimen réunissant tous nos critères.
Coupé trois jours plus tôt, il semblait n’attendre que nous…
En cinq minutes, l’affaire était entendue et nous repartions avec un arbre de près de deux mètres, bien emballé, plus frais, plus beau et coûtant moins cher que le malheureux sapin de l’an dernier.
Pour le moment déposé sur la terrasse, il sera installé en fin de semaine, lorsque nous préparerons le village de Noël…

Noël approche…

Martine Bernier

 

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