J’ai eu beau faire, je termine la semaine avec énormément de tâches accomplies… et plusieurs autres en attente.
Je vais donc consacrer quelques heures de mon week-end à m’y attaquer, histoire de ne pas prendre de retard sur ce qui m’attend la semaine prochaine.
Mais avant…
Saviez-vous que « le paradoxe des anniversaires » a été mis en équation en 1939 par le mathématicien Richard Von Mises?
Je vous explique.
Tout a commencé par un casse-tête finalement assez simple: combien de personnes faut-il réunir pour être sûr à 100% que deux d’entre elles aient leur anniversaire le même jour?
Je vous laisse réfléchir…
Tic tac tic tac tic…. stop!
La réponse est 366 (nombre de jours dans une année +1 en partant du principe que l’on prend l’exemple d’une année non bissextile).
Bon, là, tout le monde y avait pensé.
Mais, plus complexe: savez-vous combien faut-il qu’elles soient pour qu’il y ait 50% de chances que deux d’entre elles aient leur anniversaire le même jour?
Re tic tac…
La réponse est 23.
Et, nous dit-on, à partir de 57 personnes, la probabilité est supérieure à… 99%.
Un peu compliqué?
Oui, je trouve aussi…
C’est ce que l’on appelle le paradoxe des anniversaires.
Si vous effectuez une recherche sur Internet, vous trouverez une multitude d’explications détaillées sur l’opération numérique en question.
De mon côté, je reste toujours aussi songeuse de voir que des mathématiciens aient eu l’idée de se consacrer à des questions aussi… heu… étonnantes…
Martine Bernier