J’imagine qu’il en est de même dans la plupart des professions: j’ai parfois l’impression que le travail fonctionne sur un rythme qui ressemble à celui des marées.
Depuis deux semaines, je suis à marée haute, avec, en prime, des vagues énormes qui envahissent les plages censées être dédiées à la détente.
Dans ces cas-là, garder la barque à flot requiert toute notre attention, toute notre énergie.
Aujourd’hui s’annonce comme étant l’une des journées les plus chargées de la semaine.
Ecriplume a donc quartier libre pour flâner dans un lieu protégé et paisible, le temps que la situation revienne à la normale…