Depuis que les jours rallongent, les activités de printemps commencent à revenir.
Avec un petit coup d’accélérateur sur le plan professionnel, la perspective proche du retour des rendez-vous médicaux clés de l’année…
Mais aussi avec le début de la construction d’un projet de longue haleine.
Première étape: l’élaboration.
Nous avançons… pas à pas…
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L’article que j’ai posté hier sur Ecriplume a eu un écho étonnant…
Outre les commentaires auxquels j’ai préféré répondre en privé, j’ai eu la surprise de recevoir plusieurs messages, qui m’ont confortée sur un point: le mode de fonctionnement des « loups » est toujours le même.
L’un de mes interlocuteurs me confiait, dans l’un de ces messages, qu’il doutait de pouvoir recommencer à faire confiance à l’avenir.
Sa réflexion m’a interpellée…
Il faut très longtemps pour se remettre des dégâts commis par ce genre de personnes toxiques, par les pertes qu’elles ont engendrées.
Je ne sais même pas si l’on s’en remet complètement.
Mais qui étions-nous avant qu’elles ne fassent irruption dans nos vies?
Et méritent-elles que nous transformions nos existences en bastions imprenables dans lesquels nous vivrions en ermites échaudés?
Je ne le pense pas…
Je crois toujours que chaque rencontre est un cadeau, un enrichissement personnel, une aventure humaine à ne pas manquer.
Ce qui ne devrait pas nous empêcher pas d’être un peu plus attentifs afin de ne plus laisser les personnes nocives s’infiltrer dans nos vies.
Mais là encore, tous ceux qui en ont fait l’expérience le savent: elles sont extrêmement douées pour se faire passer pour… ce qu’elles ne sont pas.
Martine Bernier
