
Il y a quelques jours, je dépose sur Facebook la photo de l’une des scènes de l’artiste japonais Tatsuya mettant en scène des miniatures dans des décors composés d’objets du quotidien détournés de leur utilité première.

Hélène, l’une des personnes qui ont aimé ce clin d’oeil m’a

alors demandé si je connaissais Slinkachu, un autre artiste, britannique, cette fois, qui, lui aussi suit la même démarche, mais au coeur des villes.
Je suis allée voir et j’ai découvert un univers piquant, pointant du doigt les inepties de notre monde moderne…
L’art miniature, minuscule et si riche m’interpelle.

Si Slinkachu se sert du décor des villes pour installer son univers, Tatsuya Tanaka travaille plutôt en studio où il détourne les objets usuels de leur vocation première, où même les animaux lui servent parfois d’éléments de décor.

Je suis très sensible à son humour et à sa poésie.
Sous les photos que je dépose aujourd’hui se trouvent les coordonnées de son site Internet.
En attendant que vous alliez le consulter, cliquer sur les photos vous permettra de découvrir en plus grand son univers minuscule…
Martine Bernier