Depuis quelques jours, comme beaucoup d’entre nous, je suis malade.
J’ai pris un peu des microbes de chacun, et ai décidé de commencer une collection.
Ce n’était pas une bonne idée: ce cocktail de désagréables petites choses m’a bêtement ramenée à ma condition d’humain miserabilis.
Conséquence: comme tout le monde dans ce cas-là, je fonctionne au ralenti.
Aujourd’hui, je vais donc délaisser Ecriplume, histoire de prendre le temps de lutter contre les envahisseurs!
Je vous souhaite un retour à une atmosphère pré printanière, en grande forme!
Martine Bernier