
Suite au petit article que j’ai écrit il y a deux ou trois jours à propos des fleurs poussant le long de la rivière, l’une de mes amies, qui habite à quelques centaines de mètres de chez nous, m’a envoyé ces photos.
Le confinement nous interdit de sortir… et de constater que, à très peu de distance de la maison où la rivière est toujours présente, l’eau a disparu du lit du petit canal qui entoure une île minuscule.
En principe, m’expliquait-elle, ce canal coule au moins jusqu’en juin et les vaches vont s’y abreuver.
Nous ne sommes qu’au mois d’avril, et, déjà, l’herbe des prés n’arrive plus à pousser, et le bétail doit être abreuvé par les agriculteurs très inquiets.
La pluie qui tombe sur une bonne partie de la France semble s’arrêter au frontières de la région, freiné, dit-on, par le massif des Vosges.
Il faudrait que mon fils et mon petit-fils reviennent.
L’an dernier, nos « Danses de la Pluie » avaient plutôt bien marché.
Martine Péters